Ski-Voile 2007 à Antibes - 28/01/2007

Voila, l'édition 2007 est terminée, rendez-vous en 2008.

Ski-Voile 2007 à Antibes - 27/01/2007

Ski-Voile 2007 à Antibes - 26/01/2007

Non, Thomas ne procède pas à ses exercices d'assouplissement quotidiens.

Soucieux de ne pas arriver en retard sur la ligne de départ, il regarde tout simplement l'heure sur le clocher de l'église du village entre le foc et le pont de son 505.



Les différentes manières d'aborder les grandes épreuves :

certains flânent pendant que d'autres bossent sur leur coque jusqu'à la mise à l'eau des bateaux.


Loïc appréhende le profil de sa toute nouvelle dérive Waterat.

Le manque de surface de ce nouvel appendice ne l'empêchera pas de se hisser à la cinquième place de la compétition.

















Diable d'homme, non content de s'adjuger le titre de champion du monde des Tempest pour la seconde fois, il brigue maintenant une victoire dans le volet voile de la célèbre épreuve Ski-Voile d'Antibes (Alpes Maritimes).



Après La Rochelle en 2004 pour Philippe, l'équipage Philippe BOITE, Régis VIATEUR champion du monde de Tempest 2006 à la Martinique.

Ca y est, il semble que Thierry soit venu à bout de ses complexes.



Il affiche maintenant ouvertement son attachement à la 505 Class.



Ce vendredi matin, Thomas est inquiet ; le vent variable lui sera -t-il favorable ?

Il ne sait pas encore que dans une seconde, il va marcher sur une peau de banane.


Gilles est tranquille ; Muriel s'occupe de tout.







Ce pneumatique ferait bien l'affaire de Stéphanie - spacieux, rapide - il doit constituer un excellent outil de travail pour l'encadrement des activités voile.


Le propriétaire anglais de ce magnifique Dragon a été fortement impressionné par la qualité des bateaux et des équipages de la flotte de 505 présents à Ski-Voile.

Son soutien à la 505 Class se manifeste cette année par la mention du sigle 505 dans ses voiles.

Gageons que l'an prochain il reviendra à Antibes au mois de janvier, cette fois-ci à la barre d'un 505 tout neuf.








Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

Et pourtant, ce dispositif très efficace pour que le barreur puisse reprendre du bras de spi sera bientôt considéré comme indispensable par la majorité des régatiers.